Rési­dence É. Augus­tin : Commu­niqué de La France Insou­mise de Poitiers

La rési­dence Édith Augus­tin ne fermera pas ! La muni­ci­pa­lité et le CCAS ont entendu la voix des rési­dentes et des rési­dents, de leurs familles, des person­nels, des méde­cins enga­gés et de toute la popu­la­tion mobi­li­sée du quar­tier. Le dialogue accepté par la mairie permet deux avan­cées impor­tantes : personne ne sera obligé de partir ; une nouvelle rési­dence sera construite d’ici quelques années.

La France Insou­mise de Poitiers reste vigi­lante sur trois points.

D’abord, le nombre de rési­dent·es accueilli·es à Edith Augus­tin doit rester à un niveau suffi­sant pour assu­rer le main­tien des services aux loca­taires et assu­rer la réus­site du futur projet « d’ha­bi­tats inclu­sifs publics à loyers modé­rés ». Nous deman­dons à la collec­ti­vité de rouvrir les inscrip­tions dans la rési­dence auto­no­mie Edith Augus­tin comme c’est le cas dans les autres rési­dences de Poitiers.

Ensuite, la concer­ta­tion doit se pour­suivre avec l’en­semble des parte­naires pour préci­ser ce que sera cette future struc­ture, en veillant à ce qu’elle soit un établis­se­ment public de type ‘rési­dence auto­no­mie’.

Enfin, nous restons égale­ment mobi­li­sé·es aux côtés des person­nels et des familles de la crèche fami­liale du CCAS. La concer­ta­tion n’a, dans ce cas, pas commencé. Ce mode d’ac­cueil origi­nal a un avenir, comme l’ont montré de récents rapports offi­ciels. Là aussi, la Ville et le CCAS doivent s’en­ga­ger dans un dialogue avec les habi­tant·es pour tracer des pers­pec­tives pour la crèche fami­liale et confor­ter le service public de la petite enfance.

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