Amnesty inter­na­tio­nal. « Faire respec­ter le droit inter­na­tio­nal huma­ni­taire »

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(…) Aujourd’­hui, l’ur­gence est de faire respec­ter le droit inter­na­tio­nal huma­ni­taire, d’as­su­rer la protec­tion des civil·es et d’exi­ger la libé­ra­tion des otages.

Selon le droit inter­na­tio­nal huma­ni­taire, toutes les parties au conflit sont tenues de proté­ger la vie des civil·es. Par ailleurs :

  • Les meurtres par le Hamas d’hommes, femmes, enfants, dont des jeunes à une rave party, la prise d’otage de personnes israé­liennes, et la menace de leur exécu­tion consti­tuent des crimes de guerre.
  • En repré­sailles, les bombar­de­ments inten­sifs de l’ar­mée israé­lienne frappent Gaza, très densé­ment peuplée. Les attaques dispro­por­tion­nées et indis­cri­mi­nées contre les civils sont inter­dites.
  • Lundi, le ministre de la Défense israé­lien a annoncé le « siège total » de la bande de Gaza, privant la popu­la­tion gazaoui d’eau, d’élec­tri­cité et de gaz, et de médi­ca­ments. La puni­tion collec­tive consti­tue un crime de guerre.
La réponse à la situa­tion actuelle ne saurait être l’uti­li­sa­tion d’une violence aveugle. Il est indis­pen­sable que les causes profondes de ces cycles de violence répé­tés soient trai­tées.
EN SAVOIR PLUS
Nous deman­dons à la commu­nauté inter­na­tio­nale à faire pres­sion sur les parties du conflit afin qu’elles respectent le droit inter­na­tio­nal huma­ni­taire et protège la vie des civil·es.
Nous appe­lons à ce que les respon­sables des crimes répondent de leurs actes devant les juri­dic­tions compé­tentes.

 

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