Le traditionnel repas des Jeunesses Communistes a eu lieu ce dimanche 5 février à la Blaiserie à Poitiers
Le couscous était excellent, l’assemblée plurielle et de bonne compagnie. Les jeunes servent le repas que mangent les moins jeunes
Kentin a fait un beau discours.
Mais à quoi pensait Fred Abrachkoff à ce moment là ?
Fred nous a fait un sketch d’où il resssortait que B. Hamon était un petit lapin ventriloque
que chacun-e pouvait toucher
mais à qui il manquait un trou je crois
Un poème de Neruda – à l’affiche en ce moment avec l’excellent film de P. Larraín – lu par A. Sicard:
On a chanté l’international, ils et elles ont chanté la jeune garde. Et bien d’autres choses encore
Le thème principal des conversations a beaucoup tourné autour du mot « unité », pour le répudier ou l’encenser.
Deux camarades, l’un du PCF, l’autre d’Ensemble! 86, ont improvisé au micro la récitation suivante d’un poème d’Aragon :
Quand les blés sont sous la grêle
Fou qui fait le délicat
Fou qui songe à ses querelles
Au cœur du commun combat.
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À bon entendeur…