Les Le Pen, les Sarkozy, les Juppé, les Hollande, les Valls, les Macron etc. sont les symptômes d’une maladie incurable, le capitalisme en crise. Ils sont le reflet et l’expression du désarroi politique et de la déroute économique et morale d’un pouvoir en déliquescence. Les scandales financiers, les passe-droits, les détournements de fonds publics et les magouilles en tout genre se multiplient dévoilant ainsi le visage hideux d’une caste politique sans foi ni loi s’agrippant de toutes ses forces à ses privilèges. Les citoyens sont ainsi réduits à choisir un président de la République parmi ces personnages médiocres et grotesques dont certains professent des idées qui ont fait des millions de morts, d’autres condamnés par la justice ou plusieurs fois mis en examen ou encore ceux qui les ont trahis et humiliés. Même dans une démocratie bourgeoise, de tels candidats ne devraient plus se présenter au suffrage du peuple.