Survivantes de l’exil à la merci des violences que le parcours nous fait subir, nous sommes debout ! Nous femmes demandeuses de papiers, dénonçons la violence institutionnelle qui construit notre misère et nous enferme dans la loi du silence et de la honte intériorisée. La Honte doit changer de camp ! La suite de l’Appel :