Le départ était à la préfecture. les pancartes personnelles étaient de sortie :
Une délégation a déposé une votation citoyenne à la préfecture contre cette réforme du travail :
Sous le regard de la caméra des camarades de l’UD CGT 86, qu’on peut retrouver ICI et LÀ
Puis nous avons cheminé vers la gare et vers la porte de Paris :
Au concours de l’originalité des affiches et des slogans, Solidaires se taille la part du lion :
Dans le montage ci-dessous il manque la droite mais les camarades ont pris soin d’enlever nos élu-es de « Osons Poitiers«
Au bon souvenir de l’homme qui courageusement (?!) plombe l’accès et les conditions de travail de toute la population : chapeau l’artiste !
Catherine Giraud, secrétaire de l’UD CGT, au micro de Radio France Bleu :
Un original avait un drapeau français et hurlait à tue tête qu’il n’était pas facho, qu’il avait un drapeau parce qu’il aimait la France.
Question : laquelle ?
Arrivés à la porte de Paris, moment de tension. L’action intersyndicale qui, semble-t-il, était prévue n’a pas eu lieu.
Puis des « autonomes » (il faut bien trouver un mot) se sont regroupés d’un seul coup, ont sorti la banderolle ci-dessous (pourquoi seulement à ce moment-là ?) , se sont attifés d’un foulard devant le visage et de lunettes noires : plus personne ne les reconnaissait.
Sauf les flics.
Mais Poitiers n’est pas Rennes et ils sont repartis en groupe vers la fac suivi d’un contingent non négligeable de policier de la BAC (Brigade Anti Criminalité, ceux qui tapent en civile)
Sur place Nuit Debout est resté avec Solidaires pour un sitting