EDF vient de publier un appel d’offres pour la construction de deux réacteurs en France, à Penly. Le gouvernement ne prendra pourtant pas de décision politique avant 2023…
On ne change pas une équipe qui perd. Malgré les retards et les dépassements de coûts rencontrés sur les chantiers en cours que ce soit à Flamanville, en Grande-Bretagne ou en Finlande, EDF prévoit la mise en service de deux unités EPR2.
Vendredi 27, le groupe a publié au Journal Officiel de la commission européenne un appel d’offres pour « la réalisation du génie civil principal d’une paire d’unités de production d’électricité de type EPR 2 en France.
Soit disant moins chères, ces deux unités devraient compenser, en 2030, l’arrêt de centrales actuelles et afin d’atteindre l’objectif de 50% de nucléaire dans la production électrique en 2035 fixé par le gouvernement.
Entre trois et quatre candidats sont attendus sur ce projet. A priori les habituels spécialistes français des travaux publics, Vinci, Eiffage et Bouygues.
C’est le soit disant qui change tout,
La gauche par son dogmatique antinucléaire issue des verts ,et verts de gris Allemands et soutenue par les Américains sur le fond a plombé pour une décennie notre pays, sans ressources energétique , incapable de maintenir notre indépendance, spoliée par un Allemagne qui rigole, le système libéral Européen qui ts les jours grignote un peu plus, nous on souffre et pour l »instant on envoie que des canons à L’Ukraine, heureusement le PC essaye de relever la tête,(mais pas vraiment crédible ailleurs) manifestement vous n’avez rien compris à ce qui se passe alors que la France est dépouillée de toute part c’est pas ainsi que nous allons préserver notre manière de vouloir vivre il faut s’en donner les moyens, le hic nous sommes tout petits , à la ramasse, fort en gueule , prêt a être mangés quoi….
Sur ce plan que la droite et extr qui défends le bout de gras…..
La gauche le PS particulièrement depuis 15 ans a trahi le peuple, y compris l’ oiseau rare cette NUPES issue d’une dégénérescence enfonce le menu peuple qui voudrait y croire dans l’abîme …et tout le monde est content…
Sans énergie point de salut, le soit disant renouvelable une impasse à nous spolier, sans fossile que nous n’avons pas, et une hydraulique exploitée au max, il devient impératif de foncer dans le nucléaire et ASTRID en particulier pour limiter les dégâts perdus à tout jamais par ailleurs…
Cela demande une volonté collective d’ampleur…..beaucoup de travail et encore et encore …..
Pas sur que vous y soyez prêt un sursaut ou « tam pis…. »
Nous sommes étonnés de lire ce commentaire publié il y a 3 ans. Depuis de nombreux évènements sont venus nous conforter dans notre opposition au nucléaire tant civil que militaire.
Il aurait été plus pertinent de répondre à cet article plus récent : https://reve86.org/nucleaire-la-corrosion-sous-contrainte-cest-quoi/
Dans cet article nous expliquions pourquoi comme à la centrale de Civaux (la première où l’on a détecté des fissures), 12 centrales sont à l’arrêt.
Le dogmatisme des « nucléopathes » les entrainent dans une fuite en avant puisqu’aujourd’hui Macron veut construire 14 nouvelles EPR de deuxième génération. Pourtant cette technologie est un fiasco. Que ce soit à Flamanville, Hinkley en Angleterre, Olkiluoto en Finlande ou encore Taishan en Chine, ces centrales n’ont pas réussi à fonctionner correctement.
Pourtant les problèmes demeurent.
L’indépendance énergétique : le minerai provient du Niger, du Kazakhstan et de l’Australie.
La sécurité : Outre les accident des Tchernobyl, Fukushima on peut citer des « incidents » où la centrale de Braud St Louis (33) a été submergée lors de la tempête de 1999. Mais aujourd’hui la guerre en Ukraine rend réel le risque de bombardement, argument qui jusqu’à présent pouvait sembler tout à fait théorique.
Quant à votre suggestion de développer des surgénérateurs de type ASTRID (comme Superphénix), elle retarde d’au moins 3 ans date à laquelle ce projet a été abandonné.
L’arrêt du projet n’est pas une décision politique, mais liée à une multitude de problèmes de fonctionnement. Partout dans le monde, toutes les tentatives de surgénération ont été vouées à l’échec. […]Mais la difficulté est de refroidir ce réacteur. Si on utilise du sodium, cela devient très compliqué car il s’enflamme au contact de l’air et explose au contact de l’eau…