Quel chemin parcouru
Ce week-end à Paris s’est tenu le congrès constitutif de l’APRES.
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Désormais, nous avons un outil politique démocratique, doté de statuts, d’un règlement, d’une direction nationale élue, présente dans la grande majorité des départements et adapté à la nouvelle période politique.
Certains observateurs inattentifs considéreront peut-être qu’il s’agit d’un mouvement politique nouveau. Mais, nous ne sommes pas une nouveauté, nous sommes une continuité, avec ceux qui œuvrent depuis 2022 au moins, à l’unité de la gauche et des écologistes, pour dresser un rempart face au RN.
L’APRÈS fait partie des 9 millions de voix du NFP, et défend son programme social, écologique et démocratique qui veut en finir avec le macronisme.
L’APRÈS considère que l’unité est la seule stratégie qui, depuis plus de 10 ans, nous a permis d’arriver en tête et d’obtenir plus d’élus que le RN.
L’APRÈS est internationaliste, résolument du côté des peuples du monde, de Gaza à l’Ukraine, consciente des menaces de guerres, et opposé au retour des puissances agressives qui piétinent le droit international.
L’APRÈS considère que la meilleure contribution pour la Paix, pour la justice sociale, est de faire élire en 2027, un président ou une présidente de la République issu des forces qui composent le NFP.
Pour cela, face à cette période nouvelle, nous devons mettre en œuvre cette stratégie nouvelle de l’Unité qui n’est pas la reproduction mécanique de ce que nous avons fait lors des deux dernières élections.
Malgré toutes les difficultés, l’Union des composantes du NFP est le seul chemin crédible pour augmenter nos possibilités de victoire.
La division, c’est la défaite.
C’est pourquoi l’APRÈS apporte tout son soutien à l’initiative lancée par Lucie Castets pour nous retrouver le 2 juillet à Bagneux.
Nous voulons ce processus unitaire et collectif, se mettant au travail jusqu’en 2026 pour qu’un candidat commun nous rassemble, porteur d’un programme fidèle à la dynamique du NFP.
Alexis Corbière |