Une fois de plus la France est touchée par un nouvel attentat. Notre pensée va d’abord aux victimes. Ensemble s’associe à la douleur de leurs proches.
La sidération nous frappe. Les mots, quel que soit le sentiment qu’ils expriment semblent toujours en deçà de l’événement lui-même.
Le temps est aujourd’hui au recueillement et à la solidarité. L’émotion qui nous emporte ne doit pas être utilisée pour faire accepter de nouvelles mesures de restriction des libertés dont l’expérience a montré que, mortifères pour la démocratie, elles sont inefficaces contre les attentats.
Le 15 juillet 2016