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Tribune libre

Thimo­thy Snyder. USA. L’abus du mot « anti­sé­mi­tisme » pour « créer plus d’es­pace pour le vrai phéno­mène d’an­ti­sé­mi­tisme. »

pascal bpar pascal b8 avril 2025

Toute ressem­blance avec des faits et des person­nages exis­tants ou ayant … « Anti­sé­mi­tisme » et Anti­sé­mi­tisme

L’abus du mot et la diffu­sion du phéno­mène

« Et quand Amman vit que Morde­chaï ne se cour­bait pas, ni ne faisait de révé­rence, alors Amman entra dans une grande colère » Esther 3 :5

Le fascisme place l’émo­tion au-dessus de la raison. Les mots sont appe­lés à n’être que des outils au service de la vision du leader. Dans notre monde post-vérité, cela prend la forme très spéciale de l’in­ver­sion du sens : les fascistes appellent d’autres gens des « fascistes » et les anti­sé­mites appellent d’autres gens des « anti­sé­mites ». Cela se passe préci­sé­ment main­te­nant aux États-Unis, sous nos yeux, au plus haut niveau de notre gouver­ne­ment.

Un exemple étran­ger pour­rait nous aider à voir ce qui arrive. L’idée que tous les enne­mis de la Russie sont les « fascistes » s’est davan­tage enra­ci­née quand l’État russe est devenu fasciste . Poutine, depuis quinze ans, justi­fie son action en réfé­rence au prin­ci­pal penseur fasciste russe. Les auto­ri­tés russes ont ridi­cu­le­ment justi­fié leur inva­sion massive de l’Ukraine en la présen­tant comme une lutte contre l’an­ti­sé­mi­tisme. Elles ont prétendu, de façon absurde, que si elles faisaient tomber le président démo­cra­tique­ment élu de l’Ukraine, qui est d’ori­gine juive, et qu’elles instal­laient leur propre gouver­ne­ment, cela s’ap­pa­ren­te­rait à de la « déna­zi­fi­ca­tion ». C’est du fascisme au motif de « lutter contre le fascisme ». Et c’est de l’an­ti­sé­mi­tisme au motif de « lutter contre l’an­ti­sé­mi­tisme ».

Les repré­sen­tants russes ont manié la contra­dic­tion de plusieurs façons. Vladi­mir Poutine dit que le président ukrai­nien n’est pas vrai­ment juif, impliquant que Poutine lui-même décide qui est juif et ce que cela veut dire. C’est un maître-mot de l’an­ti­sé­mi­tisme moderne, dont l’as­so­cia­tion la plus célèbre est avec Karl Lueger, qui était maire de Vienne lorsque le jeune Adolf Hitler y est arrivé en 1908 et a donné sa tona­lité idéo­lo­gique à la ville. L’ho­lo­causte perpé­tré par Hitler a tué envi­ron deux millions de Juifs dans ce qui est main­te­nant l’Ukraine, dont des membres de la famille de Zelensky.

Le ministre des Affaires étran­gères de Russie a prétendu qu’Hit­ler était juif. L’idée était de suggé­rer que le président ukrai­nien, du fait de son origine juive, est comme Hitler. Le ministre russe des affaires étran­gères a aussi posé la ques­tion de savoir si Zelensky est complè­te­ment humain.

L’objec­tif consis­tant à répé­ter des tropes anti­sé­mites tout en préten­dant combattre l’an­ti­sé­mi­tisme, est de vider de toute signi­fi­ca­tion le terme d’« anti­sé­mi­tisme » et d’ef­fa­cer les leçons de l’ho­lo­causte. Et il peut diffi­ci­le­ment y avoir une action plus anti­sé­mite que celle-là.

L’an­ti­sé­mi­tisme est un terrible problème dans notre monde malmené et cela empire d’an­née en année, d’un instant à l‘autre. Il y a des anti­sé­mites parmi les Améri­cains, parmi les jeunes Améri­cains et parmi les étudiants. Ce n’est toute­fois pas une raison d’at­taquer l’en­sei­gne­ment supé­rieur ou de sabo­ter les bases légales et morales de la répu­blique améri­caine.

Les anti­sé­mites prétendent qu’eux-mêmes peuvent faire ce qu’ils veulent de l’his­toire, ils peuvent déci­der qui est un vrai juif, déci­der que les juifs se sont eux-mêmes infligé des souf­frances. Paral­lè­le­ment, les anti­sé­mites appliquent le mot « anti­sé­mite » à d’autres personnes qui font simple­ment des choses que les anti­sé­mites n’aiment pas. L’ab­sur­dité fait partie du plan : l’af­fir­ma­tion selon laquelle les Juifs démo­crates sont les véri­tables anti­sé­mites ou les véri­tables nazis ou les vrais Hitler, est faite pour déso­rien­ter les gens bien inten­tion­nés qui pensent qu’il doit y avoir une certaine logique et pour four­nir une guidance aux gens mal inten­tion­nés qui souhaitent effec­ti­ve­ment promou­voir l’an­ti­sé­mi­tisme.

Je me souviens d’avoir ressenti une sorte de confu­sion en février 2022 avec le lance­ment initial de la propa­gande russe de guerre. Je crains que la même atmo­sphère confuse prédo­mine main­te­nant aux États-Unis. La guerre du gouver­ne­ment améri­cain contre l’en­sei­gne­ment supé­rieur et contre la liberté d’ex­pres­sion procède selon les mêmes règles d’en­ga­ge­ment anti­sé­mites que celles de la guerre russe contre l’Ukraine.

La poli­tique de Musk-Trump aujourd’­hui consiste à couper les finan­ce­ments, harce­ler et persé­cu­ter les univer­si­tés améri­caines au motif qu’elles permettent l’an­ti­sé­mi­tisme. Le mot « anti­sé­mi­tisme » est utilisé pour justi­fier des actions qui, à côté de nombreux autres torts, vont nuire aux Juifs et nous devrions nous deman­der si elles sont conçues comme telles.

Le gouver­ne­ment fédé­ral s’ap­prête à expul­ser Mahmoud Khalil, un étudiant avancé de Colum­bia, au motif qu’en tant qu’é­tu­diant il a conduit des mani­fes­ta­tions contre l’as­saut d’Is­raël à Gaza. Il n’y a pas d’ac­cu­sa­tion de délit portée sur Khalil. Il est singu­la­risé dans ce qui s’ap­pa­rente à un test pour l’au­to­ri­ta­risme améri­cain dans son ensemble, pour l’ex­pres­sion de ses points de vue. La consti­tu­tion protège son droit à la liberté pas moins qu’il ne protège ce droit pour les citoyens améri­cains. Si cela ne s’ap­plique pas à lui, en d’autres termes, cela ne s’ap­plique à personne .

Selon Trump, Khalil est le « le premier de beau­coup d’autres à venir. Sans preuve, Trump asso­cie Khalil de façon géné­rale avec de l’ac­ti­vité « pro-terro­riste, anti­sé­mite, anti-améri­caine ». Ce sont des insultes conçues pour engen­drer de l’émo­tion et ni Trump ni qui que ce soit d’autre au gouver­ne­ment n’a fourni de fonde­ment probant à aucune. La stig­ma­ti­sa­tion d’un indi­vidu parti­cu­lier et de la cause qu’il défend est une matrice pour trai­ter de même d’autres gens et d’autres causes. La stig­ma­ti­sa­tion de protes­ta­tions parti­cu­lières d’uni­ver­si­tés parti­cu­lières est utili­sée pour délé­gi­ti­mer l’en­sei­gne­ment supé­rieur et la liberté d’ex­pres­sion.

« L’ac­ti­vité anti-améri­caine » est une caté­go­rie de compor­te­ment très large et bien sûr quand elle est simple­ment défi­nie comme une donnée par le président, elle est parfai­te­ment arbi­traire.

En même temps, le mot « anti­sé­mi­tisme » est aussi utilisé dans un sens fami­lier et trou­blant. L’idée est que l’an­ti­sé­mi­tisme est un tel problème que nous devrions accep­ter des poli­tiques mani­fes­te­ment auto­ri­taires pour le combattre. Mais l’au­to­ri­ta­risme va-t-il aider les Juifs ? Et cette poli­tique parti­cu­lière d’ex­pul­sion est-elle d’une quel­conque façon desti­née à proté­ger les Améri­cains juifs ? Il semble peu probable que ce soit la moti­va­tion des auteurs de cette poli­tique.

Expul­ser, au nom des Juifs, un musul­man qui a commis un délit n’est pas exac­te­ment une faveur faite aux Juifs. Cela semble plutôt une provo­ca­tion du gouver­ne­ment fédé­ral, conçue pour créer du conflit entre commu­nau­tés. Et faire, pour un cas, excep­tion aux protec­tions consti­tu­tion­nelles de la liberté de parole et du droit de se réunir, c’est affai­blir l’État de droit dans son ensemble.

La cible parti­cu­lière de la campagne est aussi révé­la­trice. Khalil a été étudiant à l’Uni­ver­sité Colum­bia, qui est main­te­nant la vitrine d’une attaque fédé­rale plus large sur l’en­sei­gne­ment supé­rieur. Il va y avoir une enquête dans soixante univer­si­tés améri­caines sur des suppo­si­tions de lais­ser se faire des discri­mi­na­tions anti­sé­mites contre leurs étudiants. L’enquête, comme l’ar­res­ta­tion de Khalil, est formu­lée comme s’op­po­sant à l’an­ti­sé­mi­tisme et défen­dant les Juifs.

(Je devrais dire que j’ai travaillé pendant plus de vingt ans à l’Uni­ver­sité Yale, l’une des insti­tu­tions ciblées , où j’ai ensei­gné l’his­toire de l’ho­lo­causte, où j’ai parti­cipé au comité consul­ta­tif du Programme de Yale pour l’Étude de l’An­ti­sé­mi­tisme, et où j’ai exercé le rôle de conseiller péda­go­gique pour les Archives Fortu­noff de Témoi­gnages Vidéo sur l’Ho­lo­causte, une des premières initia­tives de collecte de témoi­gnages de survi­vants. Je dis cela pour être trans­pa­rent sur mon affi­lia­tion et mes enga­ge­ments person­nels, sans parler pour les collègues d’au­cune de ces insti­tu­tions ni pour ces insti­tu­tions elles-mêmes).

Mais pourquoi avoir mis Colum­bia en premier ? L’Uni­ver­sité est à New York. Plus de 20% de ses étudiants de premier cycle sont juifs. Quelles que soient l’ex­pé­rience ou l’at­ti­tude de ces étudiants, la perte soudaine par leur univer­sité de quatre cents millions de dollars est peu à même d’amé­lio­rer leur éduca­tion et leurs chances pour la vie. Les étudiants de Colum­bia peuvent parler pour eux-mêmes . Je suppose que Colum­bia a été choi­sie comme première cible symbo­lique moins à cause de la présence d’an­ti­sé­mi­tisme qu’à cause de la présence de Juifs.

Et je pense que c’est quelque chose que les vrais anti­sé­mites améri­cains auront immé­dia­te­ment saisi. La ville de New York est codée par les anti­sé­mites comme juive. Les anti­sé­mites en Amérique, voyant Colum­bia et New York sous le coup d’une puni­tion, verront des Juifs punis – et cela leur fera plai­sir. Il en va de même pour l’en­semble des univer­si­tés. Les univer­si­tés sont souvent vues par les anti­sé­mites comme juives. La tenta­tive de soumettre les univer­si­tés rencon­trera l’ap­pro­ba­tion des anti­sé­mites.

Par une habi­tude jour­na­lis­tique améri­caine, le cadrage public de la campagne anti-univer­si­tés comme une oppo­si­tion à l’an­ti­sé­mi­tisme par Musk-Trump, est accepté. Mais ces éléments de base du contexte sont suffi­sants pour mettre cela en doute. L’his­toire apporte des ensei­gne­ments clairs sur les ruptures dans l’État de droit et sur les campagnes contre des villes et des univer­si­tés. Celles-ci sont très souvent asso­ciées à l’an­ti­sé­mi­tisme. Il est très diffi­cile, au moins pour moi, de penser à des exemples histo­riques de campagnes contre des univer­si­tés et contre la liberté d’ex­pres­sion menées au béné­fice des Juifs. La seule raison pour laquelle des jour­na­listes et nous tous devons croire que ces efforts sont faits au nom des Juifs réside dans les assu­rances données par Trump.

Mais quelle est la proba­bi­lité que cette admi­nis­tra­tion veuille en fait agir dans un souci sincère du bien-être des Juifs ?

L’équipe de Trump s’est récem­ment enga­gée dans une action desti­née à atti­rer des Juifs au Bureau Ovale. Elon Musk fait le salut hitlé­rien et prétend que les gens qu’il n’aime pas sont des « marion­nettes de Soros », en d’autres termes Musk adopte la théo­rie d’une conspi­ra­tion juive mondiale. Musk a renforcé l’an­ti­sé­mi­tisme par la manière qu’il a choi­sie pour la gestion de Twit­ter . II bana­lise l’ho­lo­causte en faisant des plai­san­te­ries sur Himm­ler et Goeb­bels ou en critiquant les travailleurs du secteur public  pour l’ho­lo­causte. JD Vance s’est rendu en Europe en février pour s’as­so­cier à l’ex­trême droite alle­mande. Le Secré­taire de la défense est un recons­truc­teur chré­tien qui s’as­so­cie à un promo­teur très connu des idées anti­sé­mites. Sous la nouvelle direc­tion du FBI , l’ex­trême droite améri­caine, le centre du terro­risme améri­cain violent, vont rece­voir beau­coup moins d’at­ten­tion. Les inci­dents anti­sé­mites se sont accrus lors du précé­dent mandat de Trump, au cours duquel Trump a carac­té­risé les parti­ci­pants à un rassem­ble­ment néonazi (« Les Juifs ne vont pas prendre notre place » à Char­lot­tes­ville) de « gens excep­tion­nels ». Trump dit que les Juifs qui ne votent pas pour lui ne sont pas des Améri­cains loyaux. Il se réfère aux personnes et insti­tu­tions avec lesquelles il est en désac­cord, de « mondia­listes », ce qui est un nom codé pour « Juifs », que tout anti­sé­mite comprend. Ses soutiens mènent une attaque de type anti­sé­mite contre des juges juifs qui agissent selon des moda­li­tés que Trump n’aime pas, y compris dans le cas de Mahmoud Khalil.

Comme Karl Lueger dans la Vienne d’Hit­ler, et comme Vladi­mir Poutine lors de l’in­va­sion de grande ampleur de l’Ukraine, Donald Trump se donne le droit de déci­der qui est juif et qui ne l’est pas. Le 12 mars, Trump a dit que le séna­teur Chuck Schu­mer n’était pas juif mais pales­ti­nien : « Schu­mer est Pales­ti­nien, à ce que j’en sais. Il est devenu pales­ti­nien. Il était juif. Il ne l’est plus. Il est pales­ti­nien ».

Trump utilise ici le mot pales­ti­nien comme une insulte , comme si c’était un état humain infé­rieur pouvant résul­ter d’une action erro­née, par oppo­si­tion à une iden­ti­fi­ca­tion humaine normale avec un peuple. Comme Poutine et Lueger avant lui, il prétend aussi que la judéité n’est pas quelque chose qui appar­tient aux Juifs mais à ceux qui les gouvernent. Ce sont les maitres qui décident qui sont les bons Juifs et les mauvais Juifs, les vrais Juifs et les faux Juifs. Le point central de tout cela est que tous les Juifs, et les Juifs spécia­le­ment, doivent obéir au maître, sinon.

Que conclure, donc ?

Les Améri­cains ont l’ha­bi­tude de consi­dé­rer l’an­ti­sé­mi­tisme comme quelque chose d’autre que l’op­pres­sion de Juifs par des non-Juifs – ce qui est certes un problème très réel, très dange­reux et crois­sant dans le monde.

Les gouver­nants qui emploient le mot « anti­sé­mi­tisme » peuvent eux-mêmes être anti­sé­mites ou promou­voir l’an­ti­sé­mi­tisme. L’abus du mot « anti­sé­mi­tisme » est sensé entraî­ner l’im­pres­sion que c’est plau­sible, un senti­ment confus d’op­po­si­tion, et créer plus d’es­pace pour le vrai phéno­mène d’an­ti­sé­mi­tisme. Et cette défor­ma­tion fait inté­gra­le­ment partie de l’ef­fort pour rempla­cer un ordre consti­tu­tion­nel par un ordre auto­ri­taire.

Les Juifs aux États-Unis sont instru­men­ta­li­sés dans l’ef­fort de construc­tion d’un système améri­cain auto­ri­taire. L’his­toire réelle et conti­nue d’op­pres­sion des Juifs est trans­for­mée en un outil bureau­cra­tique appelé « anti­sé­mi­tisme », utilisé pour suppri­mer l’en­sei­gne­ment et les droits humains – et ce faisant, au bout du compte, nuire aux Juifs eux-mêmes.

Tandis que le mot « anti­sé­mi­tisme » devient la couver­ture d’une agres­sion, nous perdons le concept. Et alors, lorsque qu’un véri­table anti­sé­mi­tisme se mani­fes­tera, il n’y aura pas de moyen de le décrire, puisque « anti­sé­mi­tisme » aura pris la signi­fi­ca­tion, en quelque sorte, du « pouvoir de maîtres arbi­traires de suppri­mer la liberté de réunion et la liberté de parole, sous couvert de désin­for­ma­tion et de propa­gande ».

Au moment où le mot pren­dra cette signi­fi­ca­tion, ce pouvoir aura été conquis. Les mots seront deve­nus de simples outils permet­tant au leader de réali­ser sa vision.

Timo­thy Snyder

https://snyder.substack.com/p/anti­se­mi­tism-and-anti­se­mi­tism
https://aurdip.org/anti­se­mi­tisme-et-anti­se­mi­tisme/

https://andream94.word­press.com/2025/03/31/anti­se­mi­tismo-e-anti­se­mi­tismo/

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