Imposées par l’Union européenne et la finance, les politiques d’austérité ont plongé le peuple grec dans la misère. Les banques privées européennes se sont enrichies par le mécanisme du remboursement sans fin de la dette et de ses intérêts.
Mais à présent, le gouvernement Syriza organise une contre-attaque contre la fraude fiscale, la corruption et la pauvreté, et tente de mettre en œuvre une politique progressiste, pour la justice sociale, le droit des migrants.