Jaime Pastor. « Vers un (dés)ordre impé­rial d’un nouveau type »

Vers un (dés)ordre impé­rial d’un nouveau type (+ autres textes)

Vers un (dés)ordre impé­rial d’un nouveau type

À peine plus d’un mois s’est écoulé depuis l’in­ves­ti­ture de Donald Trump à la prési­dence des États-Unis, avec le techno-oligarque Musk à ses côtés, et la liste des initia­tives et mesures que le tandem à la tête de la première puis­sance mondiale est prêt à mettre en œuvre est déjà très longue. Chacune d’entre elles témoigne de leur ferme volonté de trans­for­mer en un nouveau « sens commun  » – comme ils le défi­nissent eux-mêmes – un para­digme ultra­li­bé­ral sur le plan écono­mique, auto­ri­taire sur le plan poli­tique et réac­tion­naire sur le plan cultu­rel, au service de leur projet MAGA, c’est-à-dire de leur ferme volonté de frei­ner radi­ca­le­ment le déclin impé­rial que leur pays subit depuis long­temps.

Diverses analyses et critiques ont déjà été publiées dans Viento Sur et d’autres publi­ca­tions alter­na­tives sur la signi­fi­ca­tion du début de cette nouvelle prési­dence à la Maison Blanche. Dans cet article, je me concen­tre­rai sur les impli­ca­tions des mesures annon­cées, prin­ci­pa­le­ment sur le plan géopo­li­tique : à commen­cer par ses préten­tions à s’em­pa­rer du Groen­land, du Canada et du canal de Panama, pour conti­nuer par le réaf­fir­ma­tion de son soutien total à Neta­nya­hou dans la poli­tique géno­ci­daire qu’il mène contre le peuple pales­ti­nien et, bien sûr, par sa dédia­bo­li­sa­tion de Poutine et sa dispo­si­tion à recon­naître les terri­toires occu­pés par la Russie en Ukraine (en échange, bien sûr, de la main­mise sur une partie substan­tielle des terres rares…).

De toute évidence, cette stra­té­gie est au service d’un projet néo-impé­ria­liste qui vise à étendre son arrière-cour, à vassa­li­ser l’Eu­rope, à recher­cher la détente avec la Russie et à s’as­su­rer le contrôle du Moyen-Orient afin de pouvoir se concen­trer sur la région indo-asia­tique et, surtout, sur la concur­rence géos­tra­té­gique avec la Chine. Tout cela dans le cadre d’une guerre tech­no­lo­gique, commer­ciale et extrac­ti­viste à l’échelle mondiale, au nom de la néces­sité de faire passer la protec­tion des Améri­cains WASP [blancs, anglo-saxons et protes­tants] et de leur mode de vie impé­rial, désor­mais remis en ques­tion, avant le reste du monde. La faisa­bi­lité de l’en­semble de ce projet, en parti­cu­lier au regard de ses effets sur l’éco­no­mie et la société nord-améri­caines, mais aussi face aux résis­tances qui commencent à se mani­fes­ter sur de nombreux fronts, n’est pas encore établie.

Malgré la confu­sion que cette volte-face a pu susci­ter sur la scène inter­na­tio­nale, il n’est pas diffi­cile de comprendre qu’elle s’ins­crit dans un contexte géné­ral de crises de plus en plus imbriquées – dont la crise écolo­gique est l’ex­pres­sion la plus extrême – et, en consé­quence, de l’en­trée dans un jeu à somme nulle de plus en plus compé­ti­tif dans la lutte pour les ressources dans « un monde où les élites croient que le gâteau ne peut plus gros­sir. À partir de là, en l’ab­sence d’un modèle alter­na­tif, la seule façon de préser­ver ou d’amé­lio­rer sa posi­tion devient la préda­tion. C’est l’ère dans laquelle nous entrons  », conclut Arnaud Orain [1].

Super-oligar­chie, chan­ge­ment de régime et nouvelle redis­tri­bu­tion colo­niale
Une nouvelle ère où la « super-oligar­chie de la finance et du contrôle des commu­ni­ca­tions » (Louça, 2025) entend combi­ner son pouvoir sur le marché avec le contrôle direct du pouvoir étatique, Elon Musk étant l’ex­pres­sion suprême de sa volonté d’im­po­ser ses inté­rêts à l’échelle inter­na­tio­nale.

Un bond en avant qui cherche à s’ap­puyer sur l’al­liance avec les gouver­ne­ments et les forces poli­tiques qui opèrent déjà sous l’im­pul­sion de l’In­ter­na­tio­nale réac­tion­naire pour, comme l’a exprimé J. D. Vance lors du sommet de Munich, promou­voir un véri­table « chan­ge­ment de régime » dans les pays où survivent encore des formes de démo­cra­tie libé­rale héri­tées du consen­sus anti­fas­ciste issu de la Seconde Guerre mondiale.

Ainsi, bien qu’il soit encore trop tôt pour consi­dé­rer que ce programme attein­dra ses prin­ci­paux objec­tifs, il semble évident que nous passons d’un inter­règne au début d’une autre phase dans laquelle la recon­fi­gu­ra­tion de l’ordre impé­rial par les États-Unis cherche à se présen­ter comme un modèle pour stabi­li­ser et géné­ra­li­ser un nouveau mode de gestion, de construc­tion de l’hé­gé­mo­nie et de gouver­nance poli­tique : celui des auto­ri­ta­rismes réac­tion­naires (Urbán, 2024) ou des auto­cra­ties élec­to­rales (Forti, 2025), qui aspirent à créer les meilleures condi­tions possibles pour trou­ver une issue à l’im­passe déjà sécu­laire qui carac­té­rise le capi­ta­lisme mondial. Cette issue implique évidem­ment d’im­po­ser la logique de l’ac­cu­mu­la­tion au détri­ment de nombreuses conquêtes sociales et poli­tiques, rempor­tées grâce aux mouve­ments d’en bas, et des limites biophy­siques de la planète.

C’est pourquoi la volonté de Trump de remo­de­ler l’ordre géopo­li­tique en faveur des inté­rêts de MAGA doit être consi­dé­rée comme la réponse à la fin de la mondia­li­sa­tion heureuse – dont la Chine a été la grande béné­fi­ciaire – par le biais d’un ethno­na­tio­na­lisme protec­tion­niste et oligar­chique qui, à son tour, est en train de faire son chemin parmi les grandes puis­sances d’un côté comme de l’autre. Dans le cas des États-Unis, cela les amène main­te­nant à remettre radi­ca­le­ment en ques­tion la poli­tique étran­gère déployée depuis la chute du bloc sovié­tique par les prési­dents succes­sifs des États-Unis, en parti­cu­lier en ce qui concerne les rela­tions avec l’an­cien ennemi de l’Est, afin de redé­fi­nir leur empire.

Car, comme le fait remarquer Roma­ric Godin (2025) : « Il s’agit main­te­nant de construire un véri­table empire, avec un réseau de vassaux qui vien­dront consom­mer ses produits, en parti­cu­lier ses biens tech­no­lo­giques, son pétrole ou son gaz liqué­fié (…) ce qui est en jeu aujourd’­hui pour une partie du capi­ta­lisme améri­cain, c’est d’évi­ter la compé­ti­tion, c’est-à-dire d’évi­ter un grand marché trans­at­lan­tique et trans­pa­ci­fique comme à l’époque néoli­bé­rale, au profit d’un empire : un centre et des péri­phé­ries où chacun a un rôle à jouer dans sa rela­tion avec le centre. »

Dans ce cadre, le rappro­che­ment avec la Russie réac­tion­naire et nostal­gique de son ancien Empire, dont témoigne sans équi­voque ce récent vote commun au Conseil de sécu­rité de l’ONU sur le « conflit » en Ukraine, est la démons­tra­tion la plus évidente du chan­ge­ment radi­cal auquel nous assis­tons et dans lequel les deux grandes puis­sances s’ac­cordent à respec­ter mutuel­le­ment l’usage de la bonne vieille poli­tique de la force dans leurs sphères d’in­fluence respec­tives. Cela se reflète égale­ment dans leur contri­bu­tion commune à la crise de légi­ti­mité ultime de l’ONU et de tant d’autres insti­tu­tions inter­na­tio­nales (comme l’UNRWA, l’UNESCO, l’OMS…) qui existent depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale ; ou, plus grave encore, dans le rejet des pour­tant fort modé­rés Accords de Paris sur le chan­ge­ment clima­tique.

C’est par-dessus cette vieille construc­tion inter­na­tio­nale que passe la volonté de pratiquer une diplo­ma­tie quali­fiée à tort de « tran­sac­tion­nelle » (alors qu’elle est en réalité subor­don­née au busi­ness as usual) par le biais de négo­cia­tions bila­té­rales avec les diffé­rentes puis­sances, comme nous le voyons égale­ment avec la guerre commer­ciale. Et, avec elle, la pour­suite de la guerre cultu­relle mondiale sur le plan poli­tico-idéo­lo­gique à travers le discours trum­piste (Camargo, 2025), repris par l’In­ter­na­tio­nale réac­tion­naire. Cette dernière est désor­mais consi­dé­rée comme le seul allié fiable pour défendre ce « qu’ils consi­dèrent comme les valeurs les plus fonda­men­tales » (c’est-à-dire le supré­ma­cisme blanc et chré­tien, la famille patriar­cale et l’is­la­mo­pho­bie), mena­cées par « l’im­mi­gra­tion massive » et la compli­cité du progres­sisme, comme l’a dénoncé le vice-président Mike Pence dans son discours déjà évoqué lors de la Confé­rence de Munich sur la sécu­rité.

Et l’Union euro­péenne ?
Au milieu de ce chan­ge­ment radi­cal de scéna­rio, l’Union euro­péenne appa­raît comme un bloc régio­nal en déclin et de plus en plus divisé entre, d’une part, le choix de s’ali­gner sur le shérif de Washing­ton, comme le fait déjà Orban depuis la Hongrie, et, d’autre part, la recherche d’une « auto­no­mie stra­té­gique » sur les plans géopo­li­tique, éner­gé­tique, écono­mique, tech­no­lo­gique et de défense, comme le propose le rapport Draghi. Ceux qui défendent cette dernière option, faisant de néces­sité vertu, semblent désor­mais prêts à accor­der une prio­rité abso­lue non seule­ment aux crédits mili­taires pour leur réar­me­ment – avec même la France de Macron qui propose déjà de parta­ger son para­pluie nucléaire –, mais même à une plus grande déré­gu­la­tion écono­mique au nom de la compé­ti­ti­vité, ouvrant ainsi la porte à un virage liber­ta­rien jusque dans les hautes sphères de l’UE [2]. Sur cette voie, il semble bien évident que la démo­cra­tie, l’iné­ga­lité sous toutes ses formes et le réchauf­fe­ment clima­tique en subi­ront les effets, ce qui ne fera qu’ac­croître le senti­ment d’in­sé­cu­rité face à l’ave­nir au sein des classes popu­laires et aggra­ver leurs divi­sions internes.

Le choix de renfor­cer une écono­mie de guerre ne trouve aucune justi­fi­ca­tion, car, comme l’a dénoncé Mariana Morta­gua, « les pays de l’UE réunis ont plus de mili­taires en acti­vité que les États-Unis et la Russie, et la somme de leurs budgets de défense est plus élevée que celle de la Russie et plus proche de celle de la Chine » [3]. À cela s’ajoute que, si l’UE a montré sa volonté de conti­nuer à soute­nir l’Ukraine face à l’in­va­sion illé­gi­time dont elle est victime de la part de la Russie, cette atti­tude contraste avec sa compli­cité perma­nente avec l’État colo­nial d’Is­raël dans le géno­cide qu’il commet contre le peuple pales­ti­nien et le refus de son droit légi­time à l’au­to­dé­ter­mi­na­tion. Ce sont donc les inté­rêts géopo­li­tiques dans un cas comme dans l’autre, et non la défense de la démo­cra­tie contre l’au­to­ri­ta­risme ou l’illi­bé­ra­lisme, qui se cachent derrière la pratique du double stan­dard de la part de l’UE, comme l’a dénoncé très juste­ment l’his­to­rien Ilan Pappé récem­ment [4]. Même le projet scan­da­leux annoncé par Trump et Musk de trans­for­mer Gaza en un « para­dis touris­tique » n’a pas suscité une condam­na­tion unanime de la part de l’UE.

C’est pourquoi il ne faut pas à nouveau faire l’er­reur d’idéa­li­ser un Europe du bien-être et des valeurs démo­cra­tiques alors que chaque jour qui passe nous sommes témoins de l’évo­lu­tion de partis insti­tu­tion­nels et de leur adap­ta­tion à l’agenda de l’ex­trême droite dans sa poli­tique sécu­ri­taire et raciste, comme nous le consta­tons avec sa poli­tique migra­toire et la réduc­tion crois­sante des droits et liber­tés fonda­men­taux.

Et la gauche ?
Dans ce contexte géné­ral, la gauche euro­péenne est confron­tée à d’énormes défis qui l’obligent plus que jamais à faire face à la recon­fi­gu­ra­tion en cours de l’an­cien ordre impé­rial. Le rejet des nouveaux pactes inter-impé­ria­listes que Trump et Poutine tentent de mettre en place devrait s’ac­com­pa­gner d’une ferme oppo­si­tion à une UE qui ne cherche qu’à frei­ner son déclin en tant que bloc impé­ria­liste en reven­diquant une meilleure place dans le nouveau partage colo­nial.

Sans perdre de vue l’énorme faiblesse de la gauche anti­ca­pi­ta­liste, il est urgent de rassem­bler nos forces dans le cadre des nouvelles résis­tances qui se mettent en place dans diffé­rents pays pour défendre et étendre nos droits et contre-pouvoirs. Sur cette voie, il s’agira d’être capables de construire des fronts socio-poli­tiques unitaires tant pour la lutte commune contre les diffé­rents impé­ria­lismes que pour répondre à la menace que repré­sentent les auto­ri­ta­rismes réac­tion­naires en plein essor dans nos propres pays. Ces initia­tives devraient favo­ri­ser le dépas­se­ment du cadre de subor­di­na­tion à la poli­tique du moindre mal qui carac­té­rise les diffé­rentes versions du néoli­bé­ra­lisme progres­siste, car il a été ample­ment démon­tré que ces poli­tiques n’ont pas permis de s’at­taquer à la racine des facteurs struc­tu­rels qui ont faci­lité l’es­sor actuel de la réac­tion [5].

Il s’agit donc de refor­mu­ler une stra­té­gie inter­sec­tion­nelle, contre-hégé­mo­nique et écoso­cia­liste, étroi­te­ment liée à la lutte pour la disso­lu­tion de l’OTAN et à la soli­da­rité avec tous les peuples agres­sés dans la défense de leur droit à déci­der de leur propre avenir, face à toute ingé­rence ou préda­tion colo­niale de leurs ressources, que ce soit à Gaza ou en Ukraine. Dans ce sens, face à la possi­bi­lité d’un traité de paix en Ukraine conclu entre Trump et Poutine, il ne faudra pas renon­cer à exiger – avec la gauche résis­tante en Ukraine et l’op­po­si­tion anti-guerre en Russie – le retrait immé­diat des forces russes du terri­toire occupé, l’an­nu­la­tion incon­di­tion­nelle de la dette contrac­tée depuis le début de la guerre (Tous­saint, 2025) et la mise en place d’un plan de recons­truc­tion écolo­gique­ment et socia­le­ment juste [6].

Face à toutes les sortes de campisme ou de repli natio­nal-étatique, nous avons devant nous la diffi­cile double tâche de conti­nuer à défendre une Europe démi­li­ta­ri­sée de l’At­lan­tique à l’Ou­ral, en lien étroit avec la recherche d’une sécu­rité globale et pluri­di­men­sion­nelle – qui est appa­rue comme une néces­sité exis­ten­tielle lors de la dernière crise pandé­mique – en oppo­si­tion à la concep­tion de la sécu­rité aujourd’­hui domi­nante, mili­ta­riste à l’ex­té­rieur et puni­tive à l’in­té­rieur de nos propres pays.

Jaime Pastor
Jaime Pastor est poli­to­logue et membre de la rédac­tion de Viento Sur.
Source : Viento Sur, 01 mars 2025 :
https://vien­to­sur.info/hacia-un-nuevo-desor­den-impe­rial/
Traduit pour ESSF par Pierre Vande­voorde avec l’aide de DeepL­pro.
https://www.europe-soli­daire.org/spip.php?arti­cle73810

Verso un (dis)ordine impe­riale di nuovo tipo
https://andream94.word­press.com/2025/03/07/verso-un-disor­dine-impe­riale-di-nuovo-tipo/

Réfé­rences
Camargo, Laura (2024) Trum­pismo discur­sivo. Origen y expan­sión del discurso de la ola reac­cio­na­ria global. Madrid : Verbum.
Forti, Steven (2024) Demo­cra­cias en extin­ción. Madrid : Akal.
Godin, Roma­ric (2025) « Un capi­ta­lismo en crisis, depre­da­dor y auto­ri­ta­rio », Viento Sur, 01/03.
Louça, Fran­cisco (2025) « ¿Quién es el enemigo ? La super­oli­garquía », Viento Sur, 19/02.
Tous­saint, Eric (2025) « La dette : un instru­ment de pres­sion et de pillage entre les mains des créan­ciers », Viento Sur, 15/02.
Urbán, Miguel (2024) Trum­pis­mos. Neoli­be­rales y auto­ri­ta­rios. Barce­lone : Verso.

[1] https://www.sinper­miso.info/textos/es-evidente-que-el-capi­ta­lismo-de-fini­tud-no-nece­sita-la-demo­cra­cia-entre­vista-a-arnaud-orain
[2] En réalité, c’est déjà en train de se produire :
https://legrand­con­ti­nent.eu/es/2025/02/16/desre­gu­la­cion-en-lugar-de-deuda-comun-el-giro-liber­ta­rio-de-la-comi­sion-von-der-leyen-sobre-el-informe-draghi/
et https://www.media­part. fr/jour­nal/inter­na­tio­nal/260225/ue-la-commis­sion-saborde-son-propre-agenda-vert
[3] https://www.sinper­miso.info/textos/europa-no-se-salvara-cambiando-el-estado-de-bienes­tar-por-armas
[4] « C’est la grande hypo­cri­sie euro­péenne : soute­nir la résis­tance de l’Ukraine tout en quali­fiant de terro­risme la résis­tance de la Pales­tine », el diario.es, 25/02/25
[5] Cela s’ap­plique égale­ment à la variante socio-libé­rale, clai­re­ment en déclin, comme nous avons pu le consta­ter lors des récentes élec­tions en Alle­magne, où une nouvelle coali­tion gouver­ne­men­tale avec la démo­cra­tie chré­tienne est annon­cée, ce qui pour­rait aggra­ver sa crise. Pour le cas espa­gnol, je me réfère à mon article « 41e Congrès du PSOE : le resser­re­ment des rangs autour du leader n’ar­rête pas la droite », 7/12/24
[6] https://elpais.com/clima-y-medio-ambiente/2025–02–24/la-factura-clima­tica-de-la-inva­sion-de-ucra­nia-asciende-hasta-los-250-millones-de-tone­la­das-de-gases-de-efecto-inver­na­dero.html

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.