Une histoire ordi­naire de sans-papiers

Témoi­gnage : Monsieur Ousmane T., guinéen est en France depuis 8 ans mais toujours en situa­tion irré­gu­lière. Il vit à Poitiers depuis trois ans avec sa compagne Mama D., guinéenne et ils ont ensemble un petit garçon né à Poitiers en avril 2012.

Lettre ouverte à un bon cama­rade du PCF

Cher Carjou,

je te remer­cie de m’avoir fait parve­nir l’in­ter­ven­tion de Patrick Coro­nas lors du dernier Conseil muni­ci­pal de Poitiers au sujet de la vente de l’an­cien Théâtre.

Lettre ouverte à Marcel sur le mili­tan­tisme

Dans Centre Presse du 18 juillet dernier tu écris, Marcel-que-je-ne-connais-pas, sur le sujet de la fête pour sauver l’an­cien Théâtre :

« Ce mouve­ment pour la soi disant défense de l’an­cien théâtre perd des effec­tifs au fil du temps. Comme quoi il est plus facile de soute­nir une action derrière un clavier avec un nombre impres­sion­nant d’amis faux ou vrais. Mais la réalité du mili­tan­tisme c’est sur le terrain qu’il s’ef­fec­tue et se voit ce qui n’est pas le cas ici . L’argent mis au fonc­tion­ne­ment de ce théâtre peut servir aux maisons de quar­tier qui diffu­se­ront plus large­ment la culture pour tous et non à une certaine mino­rité qui veut rester entre elle »

Je ne revien­drai pas sur les argu­ments qui s’op­posent à la vente de l’an­cien Théâtre qui sont abon­dam­ment rensei­gnés sur ce site. Par contre, comme tu parles de la réalité du mili­tan­tisme, je me sens en droit de te propo­ser une réponse sur ce sujet. La voici :

Théâtre de Poitiers : faux argu­ments et vraie mauvaise foi sur le cinéma à Poitiers

Lors du débat orga­nisé par le « Collec­tif de défense de l’an­cien Théâtre », il y eu un échange entre le Collec­tif et plusieurs éluEs de la majo­rité muni­ci­pale qui s’étaient dépla­céEs..

Un des thèmes forcé­ment abor­dés sur ce sujet de l’an­cien Théâtre c’est le trans­fert en 2013 du cinéma Arts et essais (para-muni­ci­pal) vers les salles du CGR Castille (privé).

On est passé d’une seule salle de cinéma dans l’an­cien Théâtre (aujourd’­hui promis à la vente) à trois salles « Arts et essais » au sein du cinéma privé CGR Castille.

Passer de un à trois c’est mieux, dit la Mairie, évidence qu’on ne peut que confir­mer.

Par contre pourquoi ce silence sur les raisons de ce trans­fert ?

Pourquoi ne pas avoir construit trois salles dans l’an­cien Théâtre ?

Pourquoi les trois salles Arts et essai sont au CGR ?

Qu’en est-il du cinéma Le Dietrich ?

Qu’est-ce que tout cela révèle ?